sur une épaule
absente
sa couleur endormie.
Une tasse de café au lait et le vent,
poing levé, ivre, pour croire au monde,
mon corps au milieu de sa racine tordue,
et le pouls du jour en cordes lisses,
des chinoiseries au territoire du désir
et des pensées brouillonnes,
à l’échappée de soi,
ce que l’on veut toujours tu sais,
toute une route à suivre,
à tomber
mille et une fois,
une alerte de l’émotion tenue à dix remparts
du naufrage,
dans la nuit aux lumières attentives,
et, dans l’écho de la lampe,
une étoile écorchée,
quand l’écriture devient voix.
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