Photo | Sabine Weiss
Une lumière ocre a glissé sur le silence des toits
et a continué à peu à briller dans son brouillard.
La nuit dure longtemps quand rien ne bouge à travers les fenêtres.
Le vent s'est perdu dans la poussière de sable
et les yeux ne savent pas où trouver refuge.
Ils piquent sous les paupières si on ne les distrait pas,
si les pensées trébuchent au lieu de courir
devant soi.
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