Voilà, mon livre est là, disponible en librairie, ou en commande en librairies, fnac, sur amazone...
Je le feuillette, le pose, le reprends, ici et puis là.
J'ai reçu un mot sur une carte d'Antoine Emaz. J'ai des retours positifs de gens que j'aime et qui m'aiment, j'ai envie de les croire fort. Des amis facebook en ont parlé dans leur statut, beaucoup ont cliqué. Merci les zamis facebook !
Dominique Boudou a écrit un billet sur son blog à propos de mon Passage au bleu, et je l'en remercie. je le poste ici (et en bleu).
"Caminante, son tus huellas el camino y nada màs.", écrit Antonio Machado.
"Passant, ce sont tes traces qui font le chemin, rien d'autre."
Dans son dernier recueil, Passage au bleu,
Brigitte Giraud n'ignore pas ce proverbe du poète espagnol. Le passage
est à faire avec le corps à corps à bras-le-corps, la pensée et les
songes, les mémoires et les désirs. Voilà une matière composée au plus
profond du secret en soi, entre l'infinité des dehors et l'infinité des
dedans. Une matière à prise lente avec le vide émietté, et la nécessité
de faire le tri "dans l'ordre des choses désordonnées".
Intérieur ou extérieur, le passage n'a
jamais l'amplitude d'un boulevard. Il est plus souvent une coursive, une
galerie, encombrée de racines et de visages. A l'étroit donc dans le
dur métier de vivre, à tel point que c'est parfois un cul-de-sac à la
frontière de l'horizon.
"Le passage a pris corps en toi", écrit
Brigitte Giraud, mais, dans le même temps et dans le même mouvement, il
est "encore à venir". Indéfini. Flou. A remettre sans cesse sur l'établi
des mots.
Pour que le passage au bleu enfin
advienne. Celui du corps apaisé dans l'étendue du ciel et de la mer.
L'étonnement redonne au calme les contours "d'un nuage dans l'eau". Les
yeux trouvent une issue à la poix des ombres. Le passage s'élargit déjà,
"dans l'ivresse du loin"."
Vous pouvez, si vous le souhaitez, le commander sur le site des belles éditions Henry dont voilà le lien, c'est très simple. Je vous en remercie par avance.
Bientôt, fin octobre, j'en parlerai en librairie, La librairie Olympique, bien sûr. Et puis aussi ailleurs.
Excellent... J'aime beaucoup ces éditions en plus...
RépondreSupprimerC'est commandé !
Waouh ! Merci merci... Vous très réactif, Tom-R.
SupprimerVotre sentiment de lecture me sera précieux.
En sincérité, sinon ça ne vaut rien.
Toutes mes amitiés.
Retour lointain...
SupprimerPour dire que le "passage au bleu" est toujours présent, aujourd'hui au coin de la table, hier dans mon sac passager clandestin, demain sur fond de ciel bleu...
Toujours prêt à passer entre les mains, à délivrer ces images troublantes, ces émotions frémissantes, à nourrir l'âme de ces bleus obsédants...
Il est difficile de tourner les pages.
Non pas par manque d'envie de lire celle d'après, mais parce que celle présente nous laisse songeur et évocateur... Passage vers un autre monde, voyage intérieur et intime aux détours insoupçonnés, parfois le sourire aux lèvres, mille images devant les yeux...
Merci pour cela !
C'est un très beau commentaire, très doux à lire, et bien rassérénant.
SupprimerMerci mille et une fois, Tom Rousselon !
Je vous embrasse, na !
Et bien... merci pour cette délicate attention, reçue avec plaisir. ;-)
SupprimerUne petite association qui m'a parue comme une évidence :
un-lieu-incertain.blogspot.fr/2017/07/la-memoire-setire-dans-un-ruban-de.html
Et, bravo pour la piscine, c'est une très belle revue...
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RépondreSupprimerToutes mes félicitations !
RépondreSupprimerMerci beaucoup Jamel !
SupprimerAmitiés.