Restent encore une absence au monde,
une séparation en
soi,
dedans/dehors,
une abstraction de l'eau,
une ligne de
flottaison
pas d'aplomb.
pas d'aplomb.
Grâce et amnistie des tensions.
L'angoisse se tend/se détend.
Un élastique de la langue friable
et du corps.
La grâce pour combien de temps,
combien de ciels ?
Tant de beautés, tant de bleus,
donne, donne-moi !
une fontaine sur une place,
le vent dans mes cheveux broussaille
et rien d'autre.
Seulement l'essentiel qui vaille des justes notes.
Une promesse de ta lèvre.
Et Vénus dans sa conque attend l'été.
Se
perdre alors dans le matin.
Et la nuit.Mes pèlerinages dans la nuit,
belle,
inquiète,
et pardonnable.
Pour tes mots simples et calmés
RépondreSupprimerpour tous les ciels bleus /toujours/
à venir
matin après matin
sortie de la nuit
Tu es un ange Christine !
Supprimerentre jours et nuits, se chercher cette ligne de flottaison ...
RépondreSupprimeramitié .
Stabiliser les vagues. Et lever la tête vers le soleil. Voir la mer.
RépondreSupprimerAmitiés
"dedans/dehors" seule véritable frontière, la peau...
RépondreSupprimeret le regard et le sentiment et l'humeur et l'humus....
RépondreSupprimerMerci d'être passé par là.