On ne sait pas vraiment que l'on pense tout bas,
on ne sait pas les errances et les nœuds, nos peines et nos souffles
tout bas,
on ne sait pas ce mouvement de la bouche,
ou peut-être celui de la main,
on ne sait pas,
jusqu'à ce qu'on se cogne à un visage
qui nous ramène où nous sommes,
à la surface du trottoir et des coquelicots.
Je sais.seulement la beauté sauvage du coquelicot
RépondreSupprimerTrès beau texte
Toujours ce qui étreint.
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