Dans l'enfance oubliée
nous tenions le monde
de toutes nos fibres
lentes pauvres si minces
un profond corps au corps
océanique
pour être ce que nous sommes
venus du plus loin et
rassemblés diffus
poussières des feux des fous
qui dansent pleurent
et tremblent
d'être aimé
Chère Brigitte, ce court poëme ne serait-il pas un condensé admirable de l'histoire de l'évolution ? A l'heure où les créationnistes peuvent être amenés à appuyer sur le bouton rouge, j'approuve ce texte ! Et les captations sont magnifiques, sinon... Bien à vous, B.
RépondreSupprimerUn condensé de ce qui s'échappe et s'aggrave. Sans doute, oui.
SupprimerBelle journée en mon jour anniversaire, ben oui.
Amitiés
que reste t-il de nos rêves d'enfant ?
RépondreSupprimerune page tournée
qui nous laisse amer pour n'avoir pu tous les réaliser quand le temps passe si vite ...désormais !
magnifique poème !
amitié .
Merci à toi marie-claude !
SupprimerAmitiés