Toujours un pas qui se
brise traîne maigre
et peine
à apparaître
sans faire mal / vraiment mal
un tissu se déchire quelque part
et une ferraille coupe la trame
de la voix même des gestes
(bruits de filins sur des traverses)
tu ouvres les yeux plus grand
que la fenêtre sur ton grenier
aux frissons de la terre
les désarmés devant un puits
qui brûle
Le soleil se colle au plafond
et à l'abri de son épaule parfois
on s'accroupit
j'admire ton art d'aligner les mots qui prennent leur sens dans la vie ...
RépondreSupprimeramitié .
On bricole quoi !
SupprimerAmitiés
Toujours un tissu se déchire, et l'épaule absente, parfois...
RépondreSupprimerPortrait magnifique, sinon.
Merci bertfromsang !
SupprimerJe découvre que tu es de Bordeaux.
Je ne suis pas loin de Bdx, certes, mais comment l'as-tu su, chère Brigitte ?
SupprimerEn me baladant sur ton superbe blog On croit qu' on en est sorti (cliquant sur ton nom). Ben ouais.
RépondreSupprimerS'accroupir au creux pour ne pas voir ou savoir ?
RépondreSupprimerPour se faire petite petite, comme une tentative de consolation...
Supprimer