Poursuivre quelque chose de soi-même
dans la marche
on ne sait pas quoi
on ne sait pas
un temps de solitude à la pluie du trottoir
se laver les yeux de l'inquiétude
le rimmel à tes doigts
au milieu des mots ces parfums inventés
que nous inventons
un bec d'oiseau au bord des lèvres
le regard balancé dans le bleu paf !
coup du sort éblouissement
une magie à l'aveugle
la ville au bord du monde
la voiture arrêtée
il pleut sur le jardin
rester là longtemps
visages et paupières
au bord de nous
tout près de l'indistinct
sortilège du ciel
quand on s'écrit encore
Battre des cils et des ailes donc. Mais ne pas y laisser de plumes...
RépondreSupprimerInvente, invente
Baisers ma doucette
Il n'est question que d'amour, il s'invente toujours.
RépondreSupprimervraiment, vraiment très " beau"...entre guillemets comme une excuse à ne pas trouver d'autre mot que celui-ci...je garde l'adresse, la route vers votre blog pour y revenir...car de suite, quelquechose m'attire..........
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