Quand on y pense
cette présence dans les pluies du cœur
-et puis nous dans les pluies on pataugeait-
qui écrase toutes forces
me tire pourtant par la main
- Avance, bordel ! avance ! elle dit ça
je n'ai pas besoin d'elle pas besoin
je l'ai répudiée cent mille et une fois
un écho dans le passage un chant de forêt dans la tempête
je pourrais poser mon âme sur le drap
un abandon grandiose ce serait dans une clairière la paix halète
et respire
et délire
et désire
quand on y pense...
Et vouloir la joie,
RépondreSupprimerla joie à travers la pluie
un defi dans le crâne sous les cheveux mouillés
quand on y pense et surtout quand on oublie d'y penser.
Et dire, (quand on y pense) qu'il ne pleut même pas !
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