Comme c'est étrange la simultanéité des événements !
Je poursuis ma lecture de 4321 et Paul Auster meurt quelque part sur la terre. Il est mort quelque part sur la terre et je ne peux pas m'empêcher de penser à sa main qui, un jour, a écrit ces mots. Sa main écrit en même temps que les mots défilent sous mes yeux, et son corps est hors du monde. Paul Auster est à deux endroits à la fois, ici, dans mes yeux, et ailleurs, dans le grand rien.
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