On touche la fraîcheur de la nuit tombée sur la route et les toits,
l’ombre d’un homme égaré là-bas, d’un chien peut-être.
On lave ses yeux de l’inquiétude.
On se rapproche du bleu,
le corps vacille dans l’ivresse du loin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire