L'année de guingois respire encore,
quelquefois s’époumone,
tient à rien,
à quelques jours qui restent,
une presque morte.
Elle ferme les yeux.
Ça se voit aux arbres longs, plein de laine au matin,
aux trous dans la nuit comme des agates bleues,
aux gerçures des lèvres,
aux bonnets des enfants.
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