Ne pas éteindre la nuit qui penche
la flamme du bout du cœur
cette grâce d'être encore
Ecoute le buissonnement de nos voix
inventées
dehors/dedans
un lent écoulement que c'est
dans nos veines
et le ventre
obstinées déchirantes désespérées
maigres amoureuses
pleines de plis
pleines de mousse
s'écroulent pas
il est des nuits si courtes qu'on les appelle blanches, le noir de la nuit n'éteint pas l'ordre des pensées qui fusent de tant d'éclairs ...
RépondreSupprimeramitié .
Pencher encor quelque seconde...
RépondreSupprimerAmical salut, chère Brigitte.