L'infini sur un miroir
un grand huit allongé
quelque part pour filer
là où tout commence
dans le corps en streaming
un flux sans cesse qui court
après des feux
et la rumeur des fous
qui réclament
la langue dans la bouche
écrit l'histoire
une odeur de fleurs
d’héliotropes
un bain brûlant les couloirs et
l'attente de tes pas
au bord de ma nuit
le vent poing levé
le ciel debout
tout cassé
les godasses dans une flaque
creusée
au talon de l'aiguille
J'aime beaucoup ce poème
RépondreSupprimerMerci kwarkito ! A bientôt.
SupprimerEn streaming, à son corps défendant
RépondreSupprimerReflux de soi chaque soir.
Pleine de grâce, oui !
Moment après moment, on se cale sur....Et puis non.
SupprimerEn streaming, à son corps défendant
RépondreSupprimerReflux de soi chaque soir.
Pleine de grâce, oui !
un délice ... une source de mots qui coule sur l'infini ...
RépondreSupprimeramitié .
On voudrait, on veut, on est. Comme on peut. Bellement, sensuellement.
SupprimerAmitiés.
Très pénétrant.
RépondreSupprimerJe ne sais interpréter que par bribes. Des micro films en streaming peut-être. Des phrases senteurs, la pâleur d'une aube sans doute ou le fracas du noir de la nuit.
Baisers
Les images se mêlent et s'emmêlent toujours.
SupprimerBaisers Corinne
espace/temps: flux qui nous traverse, nous étreint, nous dément, nous échappe, nous manque, nous rattrape... il s'approche comme il s'éloigne...
SupprimerOui.
SupprimerMerci de ton passage ici, bertfromsang.